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Les personnages illustres de notre villageAdolphe-Alexandre Lesrel peintreUn artiste-peintre français né le 19 mai 1839 à Genêts, mort le 25 février 1929 à Genêts Ses parents sont tous deux normands, originaires de Genêts, dans la Manche. Son père est « laboureur », autrement dit propriétaire terrien. Adolphe-Alexandre aurait donc été élevé dans une famille aisée. C'est en 1861, à l'âge de 22 ans, qu'Adolphe-Alexandre Lesrel rentre à l'école des Beaux-Arts dans l'atelier du peintre Jean-Léon Gérôme, un des artistes les plus importants du « pompiérisme ». À cette époque, la peinture d'histoire était une finalité à l'École des Beaux-Arts. Il aura également comme maître Jean-Louis-Ernest Meissonier. Lesrel restera fidèle à l'académisme durant toute sa vie de peintre. Dès 1865, Lesrel exposa une à deux toiles pendant de nombreuses années aux salons de ces deux sociétés : Société des Artistes français et Société nationale des Beaux-Arts. Pendant toute sa carrière, Lesrel récolte prix, médailles et récompenses officielles. En 1872, il se marie avec Joséphine Létang qui était l'un de ses modèles. Lesrel aura deux filles, Marthe-Thérèse (future Madame Heuzé) et Jeanne (future Madame Fontaine). Lesrel a peint ses deux filles sur un même tableau, l'Alsace-Lorraine, aujourd'hui conservé au Musée d'Avranches. En 1907, Lesrel quitte Paris pour Genêts, sa ville natale. Il y meurt en 1929. Il a réalisé un vitrail pour l'église, et le tableau «Le Chevalier Blanc», qui se trouve à la Mairie. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, la peinture réaliste était aimée et apréciée des contemporains. Lesrel travailla en pleine période de l'art pompier, très attaché à la tradition. C'est dans ce contexte que Lesrel a peint de nombreuses scènes de genre, d'inspiration historique. Le Bénézit le caractérise de « peintre d'histoire et de scènes de genre ». Presque toutes les scènes se passent en intérieur, les personnages sont en costume d'époque Louis XIII, et le décor est là pour compléter cette recherche d'une authenticité historique : mobilier Renaissance ou Louis XIII, armes du 17e siècle, objets de décoration anciens… Ses personnages de prédilection sont des cavaliers, mousquetaires, généraux, et femmes du 17e. Tout est mis en place par le peintre pour reproduire le plus fidèlement possible le début du 17e siècle. Suzanne Valadon peintre![]()
Marie-Clémentine Valade, dite Suzanne Valadon, née le 23 septembre 1865 à Bessines-sur-Gartempe et morte le 7 avril 1938 à Paris, est une peintre française. Elle est la mère du peintre Maurice Utrillo. Suzanne a habité place des halles a Genêts Fille naturelle d’une blanchisseuse, Suzanne Valadon devint acrobate de cirque à quinze ans (1880), jusqu’à ce qu’une chute mette fin prématurément à cette activité. Dans le quartier de Montmartre où elle était établie avec sa mère, puis son fils naturel, le futur peintre Maurice Utrillo qu'elle eut à l'âge de 18 ans, elle eut la possibilité de s’initier à l’art. http://fr.wikipedia.org/wiki/Suzanne_Valadon
Découvrons Henri de Toulouse-Lautrec (Cliquer sur le lien) http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_Toulouse-Lautrec
Toiles de ValadonMaurice Utrillo,peintre, a habité le bourg de GENETS.Né un lendemain de Noël, 8 rue du Poteau à Montmartre, un quartier de Paris, Utrillo est un des rares peintres célèbres de Montmartre qui y soit né. Il est le fils de la peintre Suzanne Valadon (de son vrai nom Marie-Clémentine Valade) et d'un père inconnu. Ce n'est probablement pas le peintre catalan Miguel Utrillo, un des amants de Suzanne Valadon, qui l'a néanmoins reconnu en 1891 et lui a donné son nom
http://www.google.fr/images?q=Maurice
![]() Dès les années 1920, il devient un peintre célèbre et le gouvernement français le décore de la croix de la Légion d'honneur en 1929. Sans doute poussé par sa mère, il épouse, à l'âge de 51 ans, en 1935[3] Lucie Valore avec laquelle il s'installe au Vésinet. Celle-ci joue un rôle dans la gestion des finances du couple et surveille Maurice afin d'éviter sa rechute dans l'alcoolisme et le faire travailler. Sa mère meurt 3 ans plus tard. Il meurt âgé de 71 ans, le 5 novembre 1955 à l'hôtel Splendid de Dax où il est en cure avec sa femme. Il est enterré au cimetière Saint-Vincent à Montmartre, Paris, face au Lapin Agile. Peintre Alexandre LAVALLEY , 1862-1927 "Alexandre, Claude, Louis LAVALLEY. Né à Paris le 9 août 1862 et mort à Paris en avril 1927. Fils de l’architecte des bâtiments publics de la ville de Paris Louis LAVALLEY. Frère du graveur au burin Georges-Henri LAVALLEY (1869-1902). Père du peintre Paul LAVALLEY (1883-1967) et de Claude LAVALLEY (-), femme du critique d’art WALDEMAR-GEORGE (1893-1970). Elève à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris de Alexandre CABANEL (1823-1889), Théodore-Pierre MAILLOT (1826-1888) et William-Adolphe BOUGUEREAU (1825-1905). Il était professeur à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris aux côtés de Fernand CORMON (1854-1924), ROGER et Jean-Pierre LAURENS (1875-1933). Ami d'Antoine CALBET (1860-1944), d’Auguste-François GORGUET (1862-1927) son exact contemporain, et d’Auguste LEROUX (1871-1954), Prix de Rome de peinture 1894, son cadet, avec lesquels il participe aux travaux de « Le Groupe » des Ateliers de l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Paris (section de peinture). Il expose au Salon des Artistes Français et obtient une mention honorable en 1890, une médaille de 3ème classe en 1897 et une de seconde classe en 1903; il en devient sociétaire en 1905. Il reçoit le Prix de Rome de peinture en 1891 pour « Jupiter et Mercure reçus par Philémon et Baucis » (Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris) et séjourne à la Villa Médicis. Professeur à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris (?) aux côtés de MM. Fernand CORMON (1854-1924), ROGER et Jean-Pierre LAURENS (1875-1933). Devenu un peintre renommé, il réalise nombre de portraits sur commande, de toiles et projets d’affiches pendant la Première Guerre mondiale (emprunts de guerre, bons de la victoire), il est également connu pour ses compositions décoratives qui ont orné de nombreux établissements parisiens : hôtels, brasseries, cabarets, notamment ses fresques monumentales sur le thème des fêtes du château de Fontainebleau (1905-1907) pour le bar de l’Hôtel Le Meurice, 228 rue de Rivoli. Il avait également réalisé sur commandes des projets de plafonds pour le Pavillon de Flore au Louvre. Il a peint aussi de très beaux nus et de nombreux paysages de la Baie du Mont Saint-Michel où il possédait une résidence secondaire à Genêts (du celtique « gen » « bouche, embouchure », cf. Genova, Genève) (Manche). Professeur apprécié, il enseigna à de nombreux élèves dans son atelier du 81 rue Lemercier à Paris (18ème arrondissement), la composition à fresque et la tempera, le nu, le pastel. Bibliographie : BENEZIT : Dictionnaire des peintres et sculpteurs. Paris. Gründ. 1999. Vol.8, p.346. SCHÜRR : Les Petits Maîtres de la Peinture 1820-1920. Paris. L’Amateur. 1982. Vo l.2, p.92.
Il a peint le grand tableau de l’eglise de Genets , le peintre avec sa famille , et le Christ sortant de son tombeau ![]() André GuinebertEst un peintre français né à Beaupréau (Maine-et-Loire) le 22 juin 1902 - décédé à Miré (Maine-et-Loire) le 23 juillet 1990. Enseignant de formation, André Guinebert a commencé à peindre sous la direction de Paul Hannaux, puis dans les académies libres de « la Grande Chaumière » et « Colarossi » et, enfin et surtout, en compagnie de Christian Caillard qu'il a rencontré en 1940 dans l'Offlag 17A. Coloriste, André Guinebert, s'il a réalisé des aquarelles, des fusains, des sanguines, des bois gravés et des pointes sèches pour illustrer des livres, des encres de chine, est surtout connu pour ses huiles au pinceau ou au couteau Il avait une maison à coté de la mairie Femme au violoncelle Huile sur toile |
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